Nous avons participé à un projet concernant une exploration de la faisabilité de l’utilisation de techniques Holistiques, complémentaires,  principalement l’hypnose, mais également les approches quantiques, afin de déterminer si des améliorations durables pouvaient êtres obtenues concernant des symptômes de la maladie de Parkinson.
Nous souhaitions aussi déterminer, sur quels types d’améliorations, pourrait porter une étude ultérieure.

Il s’agissait d’évaluer, avec un groupe de volontaires d’une association stéphanoise de Parkinsoniens, l’aptitude de méthodes d’accompagnement non médicales, d’apporter ou non des bénéfices supplémentaires et de quel ordre, dans le cadre de cette problématique.
Les sujets présentaient des degrés d’évolution de la maladie à différents stades de gravité et certains avaient une Neuro-stimulation . Toutes ces personnes poursuivaient normalement leurs traitements médicaux.

L’équipe en charge de cette exploration de faisabilité comprenait un docteur en science, une médecin neurologue, une  psychologue et un praticien qui réalisait les différentes séances.

Les résultats obtenus sont allés au delà de toutes les espérances.


Alors que nous pensions obtenir des améliorations temporaires, qui nécessiteraient d’êtres renouvelées régulièrement, nous avons constaté des améliorations durables qui s’accumulaient dans le temps, à mesure de l’avancé des séances…
Deux des sujets ont déclaré avoir retrouvé leur odorat, disparu depuis plusieurs années…
La plupart ont déclaré avoir amélioré leur état de stress et d’anxiété, amélioré ou retrouvé une souplesse de mouvement, une forte amélioration des tremblements, un retour à une forme de joie de vivre, diminution des douleurs, etc….

Ces retours que nous ont fait les participants, nous ont montré, que en plus de la prise en charge médicale et des accompagnements classiques (psychologie, psychanalyse, psychiatrie,…), certaines approches sortant du champ des sciences dites dures, pouvaient, à des degrés divers selon les situations individuelles, apporter des bénéfices aux personnes exposées à la maladie de parkinson.

 

Un autre enseignement que nous avons pu en tirer, est que plus la prise en charge, par ces approches complémentaire est réalisé à un stade précoce de la maladie, meilleurs et plus durable sont les résultats.