PEUT-ON TROUVER OU RETROUVER SES ÉQUILIBRES EN SANTÉ ?

La majorité des personnes que je croise, ont baissé les bras, concernant leurs difficultés et tout le négatif dont leur vie est faite.

La raison de cela me semble relativement simple !
Depuis leur naissance, les seuls discours qu’ils entendent consistent a dire que leurs problèmes de comportement, leurs ressentis désagréables, leur difficultés relationnelles ou leurs comportement excessifs sont ainsi et que rien ne peut y faire !

J’ai le souvenir de mon passage en études de psychologie, lorsque notre enseignante principale nous à dit « toutes les personnes qui entreprennent des études de psychologie, le font parce qu’elles ont des problèmes a résoudre ! ».

Cette phrase est restée dans un coin de ma tête et je ne manque pas une occasion de la rappeler aux psychologues qui croisent ma route.

La réponse que j’obtiens lorsque je leur demande où ils en sont de la résolution des leurs, la réponse est invariablement du même ordre:
 » j’y travaille ! ».
Peu importe que la personne ait quelques années de pratique ou qu’elle soit en fin de carrière, peu ou rien n’était résolu!
Cela m’a amené à penser que si une personne dont c’est la profession, ne parvient pas à résoudre des problèmes qu’elle entend résoudre chez les autres, c’est qu’il y a « un loup » comme on dit.

Là il n’est pas question de compétence, mais plutôt d’outils et de finalité de ces outils.

Si on cherche, il est possible de trouver des explications pour nous dire ce qu’est la psychologie:

« La psychologie est une discipline scientifique qui vise à comprendre le comportement humain. »
Selon ce que j’en perçois, ses objectifs peuvent être définis comme suit:

  • 1) décrire le comportement
  • 2) expliquer le comportement
  • 3) prédire le comportement
  • 4) modifier/contrôler le comportement

    Le point n° 1 me parait bien correspondre à ce que j’en comprends. Je suis moins à l’aise avec le 2ème point, parce que les différentes théories élaborées ne vont pas toutes dans la même direction et parfois je m’interroge sur certaines explications qui me semblent tirées par les cheveux.
    Le 3ème point me fait penser à madame Irma, avec l’acceptation que face à une situation donnée, des comportements stéréotypés pouvant apparaître, sans toutefois, selon moi, qu’il soit possible de déterminer que ce le sera dans tous les cas rencontrés.
    Enfin le dernier point me semble encore plus problématique du fait que si c’était vraiment le cas, alors plus personne ne devrait avoir de problèmes psychologiques ou psychiatriques et en premier lieu, les professionnels formés à ces outils !

    Ma plongée dans le monde des techniques de thérapie holistique ou parallèles ou médecines douces, selon comment on souhaite les nommer, m’a fait découvrir des processus, souvent étranges, parfois totalement inefficaces, en tout cas pour moi, et d’autres qui en plus de m’avoir apporté de grands bienfaits, m’ont amené à considérer ces méthodes avec beaucoup d’intérêt.

    A mesure que j’explorais ces outils, que mon esprit cartésien avait de la difficulté à intégrer, j’ai eu le sentiment que les outils proposés par ce qu’on défini comme étant la science, concernent une toute petite partie de ce qui défini l’être humain et ses comportements.
    Le fait que cette science réfute tous les autres domaines, parce que ses outils ne peuvent les explorer ou que cela leur parait très perché est pour moi un biais dans l’exploration de ce qui est existant et non encore clairement compris et accepté.

    Malgré des résultats surprenants ou bluffants, toutes ces méthodes qualifiées d’ésotériques ou bidon, sont rejetées et même combattues.
    Elles ne sont pas pour moi la panacée. Elle me semblent des outils complémentaires à tout ce qui existe actuellement, chacune pouvant pallier à des insuffisances de l’existant, sans pouvoir pour autant s’y substituer.

    Il m’a souvent été donné de rencontrer des personnes souffrantes, non soulagées ou n’ayant pu résoudre leurs difficultés par les techniques officielles, parvenir à trouver du soulagement et parfois de la guérison grâce aux autres méthodes.

    D’une manière générale, ma compréhension a été que , si on n’est pas soulagé correctement ou guéri par l’officiel, c’est qu’il peut être opportun de compléter ses prises en charge par le non officiel, sans pour autant le substituer à lui et que la conjugaison des 2 approches a des fortes chances de créer une synergie conduisant sur le chemin d’un retour à l’apaisement et à la santé.

    En conclusion je pourrais dire de ne jamais abandonner, ni ses prises en charge officiels et médicales, ni la possibilité de trouver des solutions ailleurs, ceci quelle que soit la nature de vos difficultés.

 

27/02/2023



« LES CHEMINS DU THÉRAPEUTE…

Devenir thérapeute…

Combien est long le chemin qui conduit un individu à parvenir à endosser la posture de « thérapeute ».

Cette état d’être peut il s’acquérir au travers d’un quelconque apprentissage ?

Emmagasiner des savoirs, aussi multiples et approfondit soient ils, ne nourrit il pas seulement un grand réservoir de données, accessible lors de la mise en œuvre de certains principes ou postures, à même de conduire un autre individu, sur un chemin de réalisation personnelle, propice à créer en lui, les conditions de sa libération de schémas internes négatifs, porteurs de souffrances, que celles-ci s’expriment, selon les définitions actuelles, des points de vue physique, psychologique, spirituelle, émotionnelle, ou psychiatrique ?

Les candidats thérapeutes, selon leur orientation interne, peuvent suivre plusieurs voies.

La plus évidente est celle des études intellectuelles orientées vers la thérapie. Les principales étant la psychologie, la psychiatrie.

Selon cette compréhension de « la thérapie », on peut n’y percevoir que les aspects dits « psycho-somatiques ».

Certains, par extension, y joindront les aspects « médicaux », dans le sens où, pour ces personnes, la guérison du corps, en ne passant que par le corps (médicaments, actes physiques,…), constitue également une interprétation de la thérapie.

De nombreuses pratiques au travers du temps et des civilisations, ont véhiculé des approches permettant de penser que l’influence de la construction interne des individus (pensées, idées, croyances, peurs, etc..) est responsable de l’expression externe (au niveau physique, comportements, relations, perceptions, interactions,…), que l’individu vit au travers de sa souffrance.

Les liens entre « la maladie », comme étant la somatisation d’une difficulté à solutionner une situation douloureuse dans sa vie, et aussi la difficulté à exprimer cette souffrance et les perceptions qui lui sont associées, est fréquemment mise en avant, comme étant la source de la maladie.
De plus en plus, les institutions médicales intègrent cette partie liée à l’esprit où à l’âme (selon ses croyances),  dans les prises en charge. Cependant, elles essayent par tous les moyens, de les détacher d’un quelconque lien spirituel par crainte que certains puissent y voir une relation avec un aspect religieux ou « divin ».

La science n’est pas la religion et la religion est une croyance.
La spiritualité n’est pas une croyance, c’est une des composantes de la personne humaine, au même titre que le corps ou le mental ou les émotions.
L’individu n’est il pas pourtant constitué de l’addition simultanée de toutes ses composantes, tel que le représente le yin et le yang, faisant de lui un tout à la fois tangible et intangible ?


De nombreux thérapeutes, au travers de leur propre souffrance, construisent la  représentation d’un chemin, de ses principes et compréhensions, une modélisation, sensée si elle est suivit par d’autres, alors en souffrance, les conduire vers une guérison partielle ou complète.
Ce serait l’idée d’un labyrinthe, conduisant du problème vers sa solution, ainsi décodé et dont le mode d’emploi serait transmis à qui le demanderait !

Si le problème est résolu en intériorité, son expression au travers de la maladie et du corps disparaitrait elle ? Est-ce aussi simplement évident ?


Le corps et l’esprit sont ils intriqués ?
Ont ils des vitesses d’expressions identiques ?


Durant de nombreuses décennies, des individus ont proféré et imposé, des idées de guérison spirituelle (à ne pas confondre avec la religion) devant conduire à la guérison des corps, mais qui ont surtout accéléré le cheminement dudit client vers sa fin !

Il aura découlé de cette situation, un rejet appuyé des autorités de santé et des institutions affiliées, envers les thérapies et les thérapeutes, qui n’est toujours pas complètement solutionné dans l’esprit de certains, même si à l’heure actuelle, ces pratiques dangereuses, sont devenue anecdotiques et ne relèvent plus que de quelques individus en grande difficulté personnelle.
La plupart des thérapeutes sont actuellement très au fait de cette situation et l’ont intégré dans leur pratique. Des erreurs dans le monde médical sont également présentes régulièrement et font l’objet de mises à niveau pour les empêcher.

Si l’idée d’une guérison spirituelle n’est pas à exclure, par des exemples qui nous sont donnés régulièrement (Anita Morjani), celle de la prise en compte des rythmes du corps est à considérer avec beaucoup d’acuité.

Le corps vit ses propres rythmes et ne tient pas compte de ceux de l’esprit ou de l’âme (selon ses croyances); aussi dans l’hypothèse où un individu aurait totalement résolu les causes de sa maladie, celle-ci n’en continuerait pas moins son évolution, comme une nappe d’hydrocarbure déversée dans une rivière, elle poursuivrait son chemin, quand bien même les causes de la pollution seraient résolues, jusqu’à sa destination finale…

La  solution apparait être sur une voie médiane, incluant une prise en charge parallèle des individus, par les approches médicales qui ont montré leur efficacité, et les approches liées aux causes initiées intérieurement par l’individu, rattachables directement à son problème.

Il n’y a plus la question du choix de « l’un OU l’autre », cela devient clairement une question de complémentarité, de « l’un ET l’autre », agissant en synergie, sur les deux versant de l’être.

Cet aspect du « devenir thérapeute » est primordial dans la compréhension du rôle que chaque thérapeute en construction, quel que soit le chemin qu’il arpente, doit incorporer dans sa pratique.
Accepter l’une et l’autre pratique, la susciter, pour offrir les plus grandes chances d’atteindre le retour à l’état de « bonne santé » est primordial !

Alors, être thérapeute c’est, me semble t il, une expérience intérieure, agrémentée de savoirs. Que l’on parte du statut de sachant, nourrit d’une multitude de connaissances, ou de celui de souffrant qui remplit de sens sa souffrance, les chemins se rejoignent lorsqu’ils entrent en relation avec le sujet en demande. A cet instant tout disparait, pour ne laisser la place qu’au lien infaillible qui se noue entre l’un et l’autre, porteur d’un échange, d’une résonance salvatrice.
A ce stade, à mon sens, la compréhension des termes « résonance » et « raisonnance » doit être clairement établit.

La « résonance » touche à la spiritualité intérieure (rien à voir avec la religion), tandis que la « raisonnance » aborde la mise en oeuvre des savoirs intellectuels.

 

« Thérapeute » est un état d’être. Pratiquer la thérapie est la mise en oeuvre d’une technique, qui peut l’être d’un seul point de vue intellectuel !


De l’expansion sémantique…au changement de sens ?

Naît on thérapeute ?
Voici une question bien pertinente pour qui souhaite s’engager sur ce chemin. Il conviendra à chacune et chacun d’y apporter une réponse.
Existe t il d’ailleurs UN chemin particulier, qui si on l’empruntait, nous conduirait infailliblement à LA posture de thérapeute ?

Mais d’où provient ce terme de « thérapeute » ?
La signification que nous en avons toutes et tous en tête, est celle d’une personne dont l’objectif est d’apporter une « guérison », dans le sens de mener un sujet à sortir d’un problème qui le ronge.
On constate aujourd’hui, que ce terme de thérapeute est, au fil des siècles, devenu porteur de plusieurs acceptions, selon le domaine dans lequel on l’applique.

A l’origine, les thérapeutes sont des religieux juifs, aux alentours du 1er siècle, dans la région de l’Égypte, qui menaient une vie d’ascète, reclus, étudiant les lois religieuses et celles de dieu, pour en extraire la quintessence.

Ils sont considérés comme des chrétiens et leurs habitats, comme les racines des premiers monastères.

Chez les grecs, le sens de ce terme avait évolué, pour devenir « celui qui prend soin d’autrui », en ce sens une mère ou un père sont les thérapeutes de leurs enfants, les enfants les thérapeutes de leurs parents…

Depuis René Descartes, et son discours de la méthode, la séparation du corps et de l’âme, le prendre soin a glissé sémantiquement vers la notion de s’occuper du corps physique.

Cette notion visant à permettre à autre que les religieux, d’avoir une emprise sur les corps, a progressivement été poussée, mise en avant, notamment au cours des derniers siècles, comme se rattachant de plus en plus au champ de la médecine, accompagné d’un gommage progressif de son acception spirituelle, jusqu’à progressivement la rejeter.

La notion de thérapeute à gonflé artificiellement sous la pression de la science, au détriment des aspects spirituels, jusqu’à des excès qu’on a pu percevoir dernièrement. Le corps a été chosifié, devenant le champ d’expérimentation de certains, contre la volonté même des humains propriétaires de ces corps.

Et si le thérapeute initial répondait à une demande d’un sujet, aujourd’hui cette demande peut être ignorée dans certains cas, et « le soin » peut être imposé, au seul profit et intérêt de celui qui l’impose, et dans une forme également où la volonté des personnes concernées peut être occultée !

 

Le "prendre soin" et les lieux de son expression.

 

Les égyptiens, jusqu’à 4000 ans avant nous, sous l’influence d’Imothep , chancelier et prêtre de à Heliopolis.
Dans ces lieux également nommés « temples des rêves, temples de guérison, temples du sommeil », on pratiquait une approche consistant à étudier les rêves des individus pour en définir le sens, faire pratiquer la méditation, le jeûne, les bains, etc.. afin d’amener les sujets vers un état de libération de leurs difficultés.

En ces temps, la vie saine et proche de la nature des personnes, permettaient d’apporter les soulagements recherchés.
Plus tard, au moyen orient et dans la Grèce antique, ce sont les temples d’Asclepios qui furent dévoués à cette tâche.
De même on a retrouvé des traces de telles institutions chez les Hébreux ( organisées autour des lettres hébraïques), mais également dans la Rome antique et jusqu’à l’Angleterre où des temples de guérison ont été retrouvés.

Plus récemment, ces liens de guérison obtenus au travers de l’esprit et de l’âme, sont également cités dans wikipédia, étant toutefois présentés comme des récits fictifs, stipulant l’existence de « lieux de guérison », reclus dans les montagnes Himalayennes, dans lesquelles sont présentes des lieux ou des personnes aux capacités extraordinaires, pouvant accompagner vers la guérison, les individus en demande.

L’ouvrage qui en fait état, « le livre des maîtres », ouvre des chemins vers une évolution intérieure, une forme de spiritualité, une quête initiatique, dont le polytechnicien français qui en a fait la traduction, n’a pu démontrer ni l’authenticité, ni le caractère purement fictif de son contenu !

Le lien entre la santé du corps et celle de l’esprit ou de l’âme, apparait alors ici, représenté de manière indissociable.

La perte de lien avec la nature, dans des sociétés qui nous entrainent de plus en plus en dehors de nous même, dans un monde physique devenu toxique pour les organismes, doit nous ramener vers cette intériorité, porteuse de nombreuses vertus, si l’on en croit tous les écrits et récits ramenés jusqu’à nous, à travers les âges. »

                      

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02/2022

La cause de nombreuses souffrances peut-elle être résolue ?

Les évènements de ces 2 dernières années, ont mis en relief un accroissement du mal-être et des souffrances humaines que la science médicale peine à prendre en charge pour diverses raisons (surcharge des services, difficulté à comprendre ce qui se passe, utilisation de solutions pas ou peu adaptées dans un certain nombre de situations, conduisant à avoir des personnes qui sont en grande souffrance, malgré une prise en charge soutenue…


Comment d'autres approches de ces souffrances peuvent elles les apaiser durablement ?

Il n’existe aucune solution miracle. La science médicale apporte des soulagements rapides, même s’ils sont parfois incomplets, malgré des accompagnements complémentaires, mais la prise en charge rapide parait parfois insuffisante sur le long terme, et c’est dans ce domaine que les méthodes dites « parallèles » ont tout leur rôle à jouer.

Ces dernières années ont vu une explosion du nombre des techniques et des praticiens qui les mettent en oeuvre, avec des résultats pas toujours au rendez-vous.
La technique utilisée, la personne qui la met en oeuvre et la personnalité du sujet en demande, peuvent former une alchimie inoppérante.

Il convient donc de bien choisir sa technique et son praticien. En cela le bouche à oreille est souvent d’une bonne aide.
Des techniques sortent du lot par leur efficacité sur le long terme, comme l’EMDR, L’EFT. Les autres techniques ne sont pas à négliger pour autant et peuvent très bien convenir pour des problématiques spécifiques.

HOLO Quantum Technics se démarque des techniques précédentes, par son efficacité immédiate que le sujet ressent au fur et à mesure que la séance se déroule.
Outre les effets immédiats, la profondeur d’action aboutit à une atténuation des problèmes, pas seulement un soulagement, au fil des séances.
De plus, la méthode permet au sujet une compréhension profonde de ce qui a conduit à la situation prise en charge.

Bien qu’elle puisse fonctionner sur presque tout type de problèmatique, les effets sont conséquents sur de nombreuses situations que la science ou la médecine peinent à prendre en charge, simplement parce que HOLO agit à un autre niveau qui ne relève pas de la science médicale ou psychologique.

Les domaines où HOLO a pu mettre en œuvre son efficacité, sont nombreux (problèmes psy, angoisses, stress, anxiété, fibromyalgie, polyarthrite, Parkinson, endométriose, phobies, problèmes relationnels, certaines névralgies chroniques sévères, les problèmes d’épaule gelée,  etc…)

HOLO se positionne comme une approche complémentaire à vos prises en charge médicales.

Il y a peu de domaines où HOLO n’apporte pas d’amélioration, à des degrés différents selon les problématiques,  y compris pour des souffrances  ou maladies pour lesquelles il y a une bonne prise en charge médicale, car dans toute souffrance il existe une part reliée à la vie de la personne et qui impacte négativement la prise en charge. réduire ou éliminer cette partie, revient à donner plus de potentiel d’auto-guerison au sujet et faciliter ainsi l’action médicale.

Enfin, il est apparu que HOLO accélère le processus de développement personnel de personnes en quête d’une « spiritualité personnelle », en ouvrant des portes d’accès à de nouveaux mondes intérieurs.

Dans l’onglet « vidéo » vous pouvez accéder notamment à un ensemble de conférences principalement avec  des thérapeutes (ce qui explique que parfois les perceptions qu’ils retranscrivent puissent parfois êtres perchées, mais chacun explore et exprime son chemin intérieur), vous permettant de voir comment fonctionne certains outils HOLO pour chacun.

Le monde que nous vivons est il le monde que nous pensons ?

L’idée de la loi d’attraction a fait son chemin. La réalité de la loi d’attraction se cherche encore…pourtant…

Voici des extraits de  « Master Key System » de Charles F. Haanel 



L’esprit est créatif. Les conditions, l’environnement et toutes les expériences de la vie sont le résultat de notre attitude mentale habituelle, ou prédominante.
L’attitude de l’esprit dépend nécessairement de ce que nous pensons. Par conséquent, le secret de tout pouvoir, de toute réussite et de toute possession dépend de notre méthode de pensée.
Cela est vrai parce que nous devons « être » avant de pouvoir « faire », et nous ne pouvons « faire » que dans la mesure où nous « sommes », et ce que nous « sommes » dépend de ce que nous « pensons ».

 

Il existe un monde intérieur – un monde de pensée, de sentiment et de pouvoir ; de lumière, de vie et de beauté ; et, bien qu’invisible, ses forces sont puissantes.
Le monde intérieur est gouverné par l’esprit. Lorsque nous découvrirons ce monde, nous trouverons la solution de chaque problème, la cause de chaque effet. Puisque le monde intérieur est soumis à notre contrôle, toutes les lois du pouvoir et de la possession sont également sous notre contrôle.

Le monde extérieur est le reflet du monde intérieur. Ce qui apparaît à l’extérieur est ce qui a été trouvé à l’intérieur. Dans le monde intérieur, on peut trouver une sagesse infinie, un pouvoir infini, une réserve infinie de tout ce qui est nécessaire, qui attend d’être déployé, développé et exprimé. Si nous reconnaissons ces potentialités dans le monde intérieur, elles prendront forme dans le monde extérieur.
L’harmonie dans le monde intérieur se reflétera dans le monde extérieur par des conditions harmonieuses, un environnement agréable, le meilleur de tout. C’est le fondement de la santé et un élément essentiel de toute grandeur, de tout pouvoir, de toute réalisation, de tout accomplissement et de tout succès.
L’harmonie dans le monde intérieur signifie la capacité de contrôler nos pensées et de déterminer par nous-mêmes comment toute expérience doit nous affecter.
L’harmonie du monde intérieur entraîne l’optimisme et l’abondance. L’aisance intérieure entraîne l’aisance extérieure.
Le monde extérieur reflète les circonstances et les conditions de la conscience intérieure.

 

Lorsque nous devenons conscients de la sagesse du monde intérieur, nous prenons mentalement possession de cette sagesse, et en prenant possession mentalement, nous entrons en possession réelle du pouvoir et de la sagesse nécessaires pour amener en manifestation les éléments essentiels nécessaires à notre développement le plus complet et le plus harmonieux.

Le monde intérieur est le monde pratique dans lequel les hommes et les femmes de pouvoir génèrent le courage, l’espoir, l’enthousiasme, la confiance et la foi par lesquels ils reçoivent l’intelligence fine pour voir la vision et l’habileté pratique pour rendre la vision réelle.
La vie est un développement, pas une accumulation. Ce qui vient à nous dans le monde extérieur est ce que nous possédons déjà dans le monde intérieur.
Toute possession est basée sur la conscience. Tout gain est le résultat d’une conscience accumulatrice. Toute perte est le résultat d’une conscience qui se disperse.
L’efficacité mentale dépend de l’harmonie. La discorde est synonyme de confusion. Par conséquent, celui qui veut acquérir du pouvoir doit être en harmonie avec la loi naturelle.
Nous sommes reliés au monde extérieur par l’esprit objectif. Le cerveau est l’organe de cet esprit et le système de nerfs cérébro-spinal nous met en communication consciente avec chaque partie du corps. Ce système de nerfs répond à toutes les sensations de lumière, de chaleur, d’odeur, de son et de goût.
Lorsque cet esprit pense correctement, lorsqu’il comprend la vérité, lorsque les pensées envoyées au corps par le système nerveux cérébro-spinal sont constructives, ces sensations sont agréables – harmonieuses.


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